Une fête somptueuse qui dure des jours. Des dîners interminables et des nuits entières à danser le merengue sous un ciel de charbon de bois. La fumée rencontre la fleur et les épices s’installent pour la prochaine inhalation. C’est CAFÉ TABAC.
Avant que le parfum ne prenne forme dans un flacon, il avait un nom : CAFÉ TABAC, inspiré par le bar emblématique des années 90 dans l’East Village.
Le parfum s’ouvre sur des notes pétillantes de fruits attendus (bergamote) et inattendus (pomme, tamarin) mais l’ensemble du parfum est un hommage au tabac sous toutes ses formes. Feuilles sèches, fleurs humides et cigare allumé sont représentés grâce à la sauge sclarée et au davana, une teinte de mangue avec la figue sèche et la datte, et un fumé brut avec l’absolu de tabac, le goudron, le cade et le bois de cèdre. Un accord ambré de sécrétions et de sucres de ciste et de labdanum, d’ambre gris, de mousse de chêne, de vanille, d’accord de cacao et de baume du Pérou au cœur laisse place à une base sombre, riche et résineuse.
Avec CAFÉ TABAC, il y a une sensualité folle qui ressemble à l’équivalent olfactif d’un zeste d’orange sur une demi-tasse d’Espresso, riche d’une touche de fraîcheur et de piquant. Le porter, c’est entretenir un état d’émotions exacerbées dont on se souvient plus qu’on ne les enregistre.
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