« Cuir Cavalier », exprime une toute autre ambiance, celle d’un champ de bataille où se déchaînent les combats, dans des odeurs de poudre à canon, de chevaux chargeant, de cuirs, d’acier, de peur et d’audace au milieu des fracas si bien rendus par T. Géricault. Le registre n’est plus le même, il est ici franchement viril, voire animal, aux facettes appuyées par le safran, le cèdre, le oudh, tempérés avec justesse et bonheur par la vanille, la fève Tonka et de beaux muscs.
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