Cuir embaumé d’iris, facetté par le ciste et réchauffé par le styrax brûlé, qui entraine dans son sillages les notes enivrantes des parfums orientaux – baume de tolu, résine de benjoin et larmes d’encens… L’effluve devient opulent avec le jasmin d’Égypte, puis s’arrondit avec la vanille et la fève tonka.
Et le Cuir Ottoman se fait chair alanguie offerte aux vapeurs du hammam…
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